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▬ Tarifs généraux
Tarif plein : 15 €
Tarif réduit* : 10 €
Tarif super réduit** : 5 €
Tarif moins de 18 ans*** : 5 €
Tarif Yoot**** : 5€
Concerts – tarif unique : 5 € / 2€ avec le Laissez-Passer Vignette
* Tarif réduit sur présentation d'un justificatif de moins de 3 mois : étudiants, moins de 25 ans, personnel UPV, demandeurs d’emploi, bénéficiaires des minima sociaux, abonné d’un des 5 théâtres partenaires, groupes de + 10 personnes
** Tarif super réduit est appliqué aux :
- scolaires, pour cela veuillez nous contacter sur relationspubliques@theatrelavignette.fr T 04 67 14 54 07
- professionnels du spectacle, sur présentation d’un justificatif de moins de 3 mois, achat possible uniquement par téléphone ou sur place du lundi au vendredi de 12h à 14h au 04 67 14 55 98 (billetterie) et/ou 1h avant chaque représentation
*** Tarif "- de 18 ans" : achat possible par téléphone du lundi au vendredi de 12h à 14h au 04 67 14 55 98 (billetterie du théâtre)
**** Le YOOT (ancien Pass’Culture du Crous de Montpellier) est une plateforme de services web dédiée à la culture et réservée aux étudiants. Une billetterie en ligne à tarifs ultra privilégiés, avec des places de spectacles et de concerts allant de 5 € à 10 €. Une offre de sorties culturelles auprès de 40 partenaires. Pour profiter pleinement de tous ces services, l’adhésion coûte 9 €.
+ d’infos www.yoot.fr
Mercredi 17 avril à 19:15
Nous vaincrons les maléfices
— Rencontre, projection, atelier
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Partenaires
À L'OUEST
Chorégraphie Olivia Grandville
TP 15 € - TR 10 € - LPV 2 € - Yoot 5 € // TARIF SPÉCIAL 16 & 17 avril tarif plein 15 € / tarif réduit 10 € / tarif LPV 2 €
Présentation
Frapper le sol avec les pieds, faire résonner le corps et la terre pour dire son existence au monde, taper à réveiller les morts, taper comme des sourds, scander nos vies minuscules.
Sur les pas du compositeur inclassable Moondog, la danseuse et chorégraphe Olivia Grandville entreprend un voyage au cœur des réserves autochtones du Canada et d'Amérique du nord et entame une recherche sur la pulsation et sa répétition dans les danses natives amérindiennes. Son objectif : partager l’expérience de cette pulsation fondatrice et ce qu’elle continue d’incarner pour ces populations : l’affirmation d’une culture toujours vivante malgré le génocide, un cœur révolutionnaire et spirituel qui continue de battre à contretemps de l’Occident. À l'ouest est une tentative de révéler en quoi ce battement du cœur, des corps, et du monde est aussi le nôtre à travers un peuple qui continue de défendre aujourd’hui ses valeurs dans l’Amérique de Trump, un peuple qui, un jour, a imaginé vaincre des cavaleries entières de soldat surarmés en dansant jour et nuit. Aux côtés de quatre autres danseuses, Lucie Collardeau, Clémence Galliard, Tatiana Julien et portée par les cycles envoûtants du percussionniste Alexis Degrenier, Olivia Grandville déjoue les registres du savant et du populaire, du traditionnel et du contemporain, pour une danse de l'ici et maintenant, l'affirmation d'une verticalité têtue, en suspens, qui bat le sol en le revendiquant.
/ Dans le cadre du programme Par/ICI: de ICI—Centre chorégraphique national de Montpellier - Occitanie en partenariat avec la Vignette
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Mercredi 17 avril à 19:15
Nous vaincrons les maléfices
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>> TARIF SPECIAL
possibilité d'acheter un billet "2 soirées" pour le 16 & 17 avril : Pass Par/ICI:
Biographie
Formée à l’école de l’Opéra de Paris, Olivia Grandville intègre son corps de ballet en 1981, avant d’être nommée sujet en 1983. Jusqu’en 1988, année où elle décide de quitter cette institution pour d’autres aventures, elle traverse, outre le répertoire classique, des oeuvres de Balanchine, Limón, Cunningham et participe aux créations de Maguy Marin, Bob Wilson et surtout Dominique Bagouet. En 1989, elle rejoint la compagnie de ce dernier et participe à l’ensemble de ses spectacles, jusqu’au décès du chorégraphe en 1992. C’est là qu’elle commence à réaliser ses propres projets.
Très tôt, elle affirme son intérêt pour la dimension polysémique de la danse, en particulier les correspondances entre le geste et le verbe. De Le K de E inspiré des écrits de Kurt Schwitters en 1993 à Comment taire développé en 2006 avec le logiciel Eyes Web de l’Ircam, elle met en jeu une esthétique combinatoire qui met le corps en relation avec les écritures du spectacle vivant (texte, musique, lumière...), tout en ne perdant jamais de vue la qualité du mouvement. Installée depuis 2011 à Nantes, en Pays de la Loire, elle est artiste associée au Lieu unique de 2017 à 2019. Elle prépare sur cette période deux nouvelles créations : À l’Ouest, qui sera créée en mai 2018 puis Dancepark (printemps 2019) un dispositif de création conçu avec Yves Godin pour le Lieu unique. À l’invitation du Ballet de Lorraine, elle créera Nous vaincrons les maléfices en mai 2019. Parallèlement à son travail de chorégraphe, elle est aussi enseignante, improvisatrice, et interprète, notamment auprès de Vincent Dupont (Incantus, 2007) et Boris Charmatz (Flipbook, 2008; La levée des conflits 2010; 20 danseurs pour le 20ème siècle, 2012).
/ www.olivia-grandville.com
Distribution / Production
Cette pièce est dédiée à Marguerite Wylde (1950-2017)
Chorégraphie Olivia Grandville
Textes et entretiens Olivia Grandville
Avec Lucie Collardeau, Clémence Galliard, Tatiana Julien, Olivia Grandville et Sidonie Duret
Musiques Alexis Degrenier, Moondog
Percussions Héloïse Devilly
Réalisation sonore Jonathan Kingsley Seilman
Lumières Fabrice Le Fur, Yves Godin
Conception scénique Yves Godin, Olivia Grandville
Costumes Eric Martin
Images Olivia Grandville
Regard extérieur Magali Caillet
Collaborations Stéphane Pauvret, Aurélien Desclozeaux, Anne Reymann
Administration, production Christelle Dietzi
Développement et diffusion Charles Eric Besnier (Bora Bora productions)
Production La Spirale de Caroline
Coproduction Le lieu unique - Scène Nationale de Nantes, La Place de la Danse - CDCN Toulouse / Occitanie, la Ménagerie de Verre - Paris, Centre Chorégraphique National de Nantes, Charleroi danse (Belgique), Centre chorégraphique de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Centre National de Danse Contemporaine d’Angers
Avec l’aide de ADAMI / Avec le soutien de Ville de Nantes, Département de Loire-Atlantique, Institut Français, Ambassade de France à Ottawa (Canada)
La Spirale de Caroline est soutenue par le Ministère de la Culture - DRAC Pays de la Loire.