La saison

ADIS HATZ / ADIEU

Galerie

En savoir +

La presse en parle :

> "Adishatz", les adieux émouvants de Jonathan Capdevielle à son adolescence, Sophie Granel, France Info (09/01/2017)
> Adishatz : requiem pour une adolescence, Vincent Bouquet, Sceneweb (16/12/2017)
> Jonathan Capdevielle : « La vérité n’est jamais très loin », Christine Marcandier, Diacritik (15/11/2017)
> Jonathan Capdevielle, en bonnes voix, Anne Diatkine, Libération (14/12/2017)
> « Adishatz » : le juke-box adolescent de Jonathan Capdevielle, Vincent Bouquet, Les Echos (24/12/2017)
> Adishatz/Adieu, Gw. D., La Terrasse (10/05/2011)

18 avril 2014 > 19 avril 2014
Spectacle

ADISHATZ / ADIEU

Conception et interprétation Jonathan Capdevielle

Conception et interprétation Jonathan Capdevielle

[ France ]
Vendredi 18 avr 2014 / 20:30
Samedi 19 avr 2014 / 19:15

Plein tarif 14 € /Tarif réduit 10 € / Tarif super réduit 5 € Open- concerts - tarif unique 5 € / Lehrstusck ! / projections - tarif unique 2 €

Présentation

Convoquant le registre de l’autofiction, sorte de documentaire sous forme de confession, cette pièce est écrite à partir de chansons, de conversations, qui évoquent comme des carnets intimes, les racines ou la famille.

/ Jonathan Capdevielle

Acteur emblématique de Gisèle Vienne – Jerk, Showroomdummies, Stéréotypie, Jonathan Capdevielle signe ici sa toute première mise en scène. Dans Adishatz / Adieu, le ventriloque et marionnettiste formé à l’École supérieure nationale des Arts de la Marionnette de Charleville-Mézières, se révèle un extraordinaire interprète des “tubes” qui ont habité sa jeunesse. L’interprétation a capella des chants pyrénéens, tout comme celle des “hits” de la culture pop, lui permet de retracer, avec humour et beaucoup de pudeur, les lignes de son propre itinéraire. Ces chansons superficielles, ou à tout le moins stéréotypées, expriment ainsi des questionnements autrement plus singuliers. Détournées et mêlées aux conversations de famille, elles font entendre la multiplicité des voix qui traversent et constituent l’identité d’un jeune homme, pris entre traditions locales et culture des mass médias. Faisant de sa vulnérabilité le point d’ancrage de son jeu, ses imitations font coexister différents personnages sans jamais sombrer dans la caricature. Oscillant entre grâce et grossièreté, masculinité et féminité, vie réelle et vie rêvée, il porte avec virtuosité les figures de l’ambivalence propres à notre temps.

Biographie

Jonathan Capdevielle

Jonathan Capdevielle est né en 1976 à Tarbes en France et vit à Paris. Après des études de théâtre à Tarbes entre 1993 et 1996, il intègre l’École supérieure Nationale des arts de la marionnette.
Il a participé à plusieurs créations, dont, entres autres : Personnage à réactiver, œuvre de Pierre Joseph (1994), Performance, avec Claude Wampler (1999), Mickey la Torche, de Natacha de Pontcharra, traduction Taoufik Jebali, mise en scène Lotfi Achour, Tunis, (2000), Les Parieurs et Blonde Unfuckingbelievable Blond, mise en scène Marielle Pinsard (2002), Le Golem, mise en scène David Girondin Moab (2004), Le groupe St Augustin, Le Dispariteur, Monsieur Villovitch, Hamlet et Marseille Massacre (atelier de création radiophonique - France Culture), mise en scène d’Yves-Noël Genod (2004-2010), Bodies in the cellar, mise en scène de Vincent Thomasset (Mars 2013).
Au cinéma, il interprète le rôle de Nicolas dans le film Boys like us, réalisé par Patrick Chiha (sortie prévue au printemps 2014).
Collaborateur de Gisèle Vienne depuis ses premières mises en scènes, il est interprète dans toutes ses pièces. Dans celles réalisées par Étienne Bideau Rey et Gisèle Vienne : Splendid’s, de Jean Genet, Showroomdummies (création 2001 et re-écriture 2009) et Stéréotypie, et dans celles mises en scène par Gisèle Vienne I Apologize, Une belle enfant blonde / A young, beautiful blonde girl, Kindertotenlieder, Jerk, pièce radiophonique, Jerk, solo pour un marionnettiste, Éternelle idole et This is how you will disappear (création 2010).
Gisèle Vienne, Dennis Cooper, Peter Rehberg et Jonathan Capdevielle ont publié en 2011 un livre et un CD : Jerk / À TRAVERS LEURS LARMES aux éditions DISVOIR dans la série ZagZig en deux éditions, française et anglaise.
En septembre 2006, il crée avec Guillaume Marie We are accidents waiting to happen au Palais de Tokyo puis en 2007 la performance-tour de chant Jonathan Covering au Festival Tanz im august à Berlin, point de départ de la création de la pièce Adishatz/Adieu (création 2009).
En novembre 2011, il présente Popydog, créé en collaboration avec Marlène Saldana au Centre National de la Danse - Pantin. En août 2012, sur une invitation du festival far° - festival des arts vivants de Nyon (Suisse) il propose Spring Rolle, un projet in situ avec deux interprètes, Jean-Luc Verna et Marlène Saldana.

Distribution / Production

Lumière : Patrick Riou
Régie générale et régie son : Christophe Le Bris
Collaboration artistique : Gisèle Vienne
Regard extérieur : Mark Tompkins
Assistance audio : Peter Rehberg
Assistant artistique pour les tournées : Jonathan Drillet

Administration, production, diffusion Bureau Casiopée : Léonor Baudouin, Manon Crochemore
Avec la participation d’ECUME, ensemble choral universitaire de Montpellier – direction musicale Sylvie Golgevit
Avec Paco Lefort , Jean-Luc Martineau , Pierre-Yves Bruzzone, Olivier Straus , Benoit Vuilon.
Remerciements à Aurélien Richard, Mathieu Grenier, Tibo Javoy et Ya Basta, pour l’enregistrement et mixage des choeurs sur “pitaladyfacegalaxymix”, Jean-Louis Badet, et à Barbara Watson et Henry Pillsbury.
Avec l’aide de DACM et l’équipe technique du Quartz, Scène Nationale de Brest / Production déléguée Bureau Cassiopée
Coproduction Centre Chorégraphique National de Montpellier Languedoc Roussillon dans le cadre de ]domaines[ (FR), Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort dans le cadre de l’accueilstudio (FR) et BIT Teatergarasjen, Bergen (NO ).
Avec le soutien du Centre National de la Danse pour la mise à disposition de studios.